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Le vrai visage de l'homme

Le vrai visage de l'homme
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Le vrai visage de l'homme
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18 mars 2008

La magie du cirque!

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En allant dans les cirques où l'on exploite les animaux, vous cautionnez les maltraitances qu'on leur inflige (souvent bien cachées au public).

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9 mars 2008

Fêtes de fin d'année..

.. c'est pas la joie pour tout le monde (cliquer pour agrandir):

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9 mars 2008

La pêche aux requins

Des chiens sont utilisés comme appâts (vivants cela va de soit):

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Les requins sont découpés vivants puis rejetés à l'eau.
Ils meurent alors d'asphyxie ou dévorés vifs.

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3 mars 2008

Voici d'où proviennent vos oeufs

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Ces poules passent leur vie dans une cage de la surface d'une feuille de papier format A4. Si elles ne pondent pas assez, on les affame pour augmenter la productivité..

Puis elles finissent dans votre assiette..

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1 mars 2008

Combats de chiens suite

Cobra, chien de combats..

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.. devenu inutile:

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Brûlé vif!

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29 février 2008

Être un lévrier en Espagne..

C'est être maltraité..

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.. et finir pendu..

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.. ou noyé..

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..ou pire encore..

29 février 2008

Combats de chiens

L'après-combat:

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29 février 2008

Affrontez la réalité!

Tiens, si on parlait des animaux ? On ne les entend pas beaucoup, dans cette campagne. Nous autres humains avons déjà assez à faire : s’il fallait, en plus, s’occuper des bestioles, n’est-ce pas... Voici pourtant l’occasion : pour le film "Notre pain quotidien", qui sort cette semaine, Nikolaus Geyrhalter a planté sa caméra dans les abattoirs, les élevages industriels, les serres géantes, les champs, les mines de sel, les vignes de notre moderne Europe. Il nous motre ce que nous n’aimons pas voir : comment fonctionne l’énorme machinerie grâce à laquelle nous remplissons nos assiettes. Non, nous ne voulons pas voir ces milliers d’animaux qui passent leur vie entassés, enfermés dans leurs boîtes, leurs cages, leurs prisons ; voir ce boeuf qui tremble de terreur devant le tueur qui va l’exécuter d’un coup de pistolet électrique, et son cadavre être retourné par un robot, saisi par les pattes arrière, suspendu à la chaîne, et son successeur s’affoler à cette vue, rouler des yeux effarés et trembler devant le pistolet qui s’approche... C’est trop facile de jouer sur notre sensibilité de citadins, sur notre, lâchons le mot, sensiblerie.

Nous savons bien qu’on ne fait pas d’omelette sans casser d’oeufs ni de steaks saignants sans tuer les boeufs. Ne nous montrez pas ces robots qui tuent, éventrent, découpent, trient ; et qui laissent à de rares salariés le soin de faire ce que les machines ne peuvent encore exécuter habilement, édenter les porcelets, leur couper la queue, etc. Ne nous montrez pas ces ouvriers solitaires, enfermés dans le mutisme et le boucan mécanique, esclaves de la cadence imposée par la machine, cheptel pas moins entravé que l’autre.

Que l’industrie agroalimentaire n’ait plus aucun rapport avec la ferme d’antan ; que le vivant y soit formaté pour la consommation de masse ; que ses méthodes déshumanisent, nous le savons, évidemment. Mais nous préférons croire au monde enchanté des publicités, où de braves paysans aux tronches authentiquement "à l’ancienne" nous vantent leurs "produits du terroir". Nous voulons du rêve et de la légende, pas du réel.

La dernière fois qu’on nous a parlé d’animaux, c’était il y a un mois, lorsque le virus H5N1 a débarqué dans un élevage de dindes anglais. 860 bêtes sont mortes, mais, plutôt que de soigner ou d’épargner les autres, on a préférer les tuer. 160 000 dindes exécutées. Oublions vite. Arrêtez de nous parler des animaux...

Jean-Luc Porquet

Article du 14/03/2007.
Source: Le Canard Enchaîné, page 5.

29 février 2008

Maltraitances sur des chiens

Un Chièvrois de 30 ans a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Mons à une peine d'amende de quelque 2.500 euros pour des maltraitances sur des chiens. L'homme, qui a été jugé par défaut, ne pourra par ailleurs plus jamais posséder d'animaux.

A une certaine époque, celui-ci avait de nombreux chiens, mais il ne leur donnait aucun soin et aucune nourriture. De plus, quand il en acquérait un nouveau, il tuait systématiquement le plus âgé, soit en le décapitant, soit en le pendant. Il est arrivé qu'il le fasse devant ses enfants.

L'intéressé ne se débarrassait même pas des animaux morts, qui gisaient donc dans le jardin de son beau-père, chez qui il habitait alors. Dans un premier temps, personne dans son entourage n'a osé dénoncer les faits. C'est sa compagne qui est finalement allée trouver la police.

Lors de son audition par les forces de l'ordre, le trentenaire a expliqué qu'il n'avait simplement pas assez d'argent pour nourrir toutes ses bêtes et qu'il les laissait donc mourir de faim ou les tuait. Le Chièvrois a par ailleurs assuré qu'il ignorait être dans l'illégalité.

Article du 12 février 2008.
Source: actu24.be

Une bien maigre condamnation..

28 février 2008

Meet your meat

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Les réalités de l'elevage et de l'abbatage des animaux de ferme sont exposées dans "Le visage de votre viande".

Cliquez ici pour voir la vidéo.

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